Guerre

L’attitude est une petite chose qui fait une grande différence.

Bien que je sois personnellement satisfait des explosifs existants, je pense que nous ne devrions pas attendre dans la voie de l’amélioration.

Jamais dans l’histoire des conflits, tant de gens n’ont dû autant à si peu.

Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur, vous aurez la guerre.

Un prisonnier de guerre est un homme qui essaie de vous tuer et échoue, puis vous demande de ne pas le tuer.

Je n’ai à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur.

Ne me faites pas d’objections. Les difficultés en feront assez d’elles-mêmes.

Nous attendons l’invasion promise de longue date. Les poissons aussi.

Nous l’appelons Jeanne d’Arc et nous cherchons quelque évêque pour le faire brûler.

Nous lutterons sur les plages, nous lutterons sur les terrains de débarquement, nous lutterons dans les champs et les rues. — (Hors micro: Et nous les frapperons à la tête avec des bouteilles à bière, car c’est là tout ce que nous possédons vraiment).

La mort et la douleur seront nos compagnons de voyage, les privations notre vêtement, la constance et la vaillance notre seul bouclier.

La politique est plus dangereuse que la guerre… A la guerre, vous ne pouvez être tué qu’une seule fois. En politique, plusieurs fois.

Il n’y a qu’une réponse à la défaite, et c’est la victoire.

En temps de guerre, la vérité est si précieuse qu’elle devrait toujours être protégée par un rempart de mensonges.

Après la guerre, deux choix s’offraient à moi: finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d’avoir si bien guidé mon choix, je ne suis plus député!

A la guerre, la maxime «sécurité d’abord» mène tout droit à la ruine.

Rien n’est plus agréable que de prendre une décision héroïque et, pour des raisons indépendantes de notre volonté, de ne pas pouvoir la mettre à exécution.

L’art de la guerre est, comme celui de la médecine, meurtrier et conjectural.

Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.

Les guerres ont toutes sortes de prétextes, mais n’ont jamais qu’une cause : l’armée. Ôtez l’armée, vous ôtez la guerre.

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées.

Entre les deux guerres selon leur degré de richesse, on donnait aux juifs l’appellation de «youpin», ou bien «juif», ou «Israëlite», ou bien encore «baron». Ce à quoi j’ajoute : «Je suis juif, mais j’ai les moyens d’être Israëlite.»

On a pris pour braves des lâches qui craignaient de fuir.

Réaliser un film, c’est comme écrire Guerre et Paix dans des auto-tamponneuses.