Yves Mirande

Tu noies tes chagrins dans l’alcool ? Méfie-toi, ils savent nager.

Yves Mirande, fatigué et âgé, à l’enterrement d’un ami: «Je crois, mon cher, que c’est la dernière fois que je viens ici en amateur.»

Les femmes sont comme les cheveux : quand ils ou elles ont décidé de nous quitter, rien ne peut les retenir.

Mon sport favori: la sieste.

Quand je suis presque sûr, je donne ma parole d’honneur; quand je suis sûr, je parie.

Je cherche un mari… – Tu ferais mieux de chercher un célibataire.

Je ne peux tout de même pas mourir pour mes idées, étant donné que je n’ai pas d’idées.

Je préfère être enterré au Père-Lachaise, j’y connais plus de monde.

La parole est d’argent, mais le silence endort.

Les femmes des amis, c’est sacré… Il faut qu’elles y passent.

A la mémoire de Jules Berry, qui pourtant n’en avait guère.

Chaque fois qu’on croit être enfin arrivé à joindre les deux bouts, un mauvais plaisant déplace l’un des bouts.

Il devient si difficile de se parquer qu’on y parvient plus, même dans les zones de stationnement interdit.

J’ai une chance inouïe: toutes les femmes qui me plaisent sont jolies.