Film

Mon premier film était si mauvais qu’aux États-Unis, dans sept États, on l’utilise pour remplacer la peine de mort.

Il y a très longtemps que je sais que la France est une terre d’asile pour mes films.

C’est dur de faire un film, mais travailler pour de bon, c’est pire !

Réaliser un film, c’est comme écrire Guerre et Paix dans des auto-tamponneuses.

Marguerite Duras n’a pas écrit que des conneries, elle en a aussi filmées.

La direction de film est le refuge idéal pour les médiocres.

Un film n’est jamais réellement bon sauf si la caméra est l’œil spirituel du poète.

Moi les dingues je les soigne, je m’en vais lui faire une ordonnance et une sévère, je vais lui montrer qui c’est Raoul, aux quatre coins de Paris qu’on va le retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle !

C’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule.

On n’emmène pas de saucisses quand on va à Francfort.

La pire maladie des hommes c’est de donner tout son amour à une seule bonne femme.

Quand on parle pognon, à partir d’un certain chiffre, tout le monde écoute.

Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît !

Un comédien, c’est un homme qui se fond au terrain, au film, au ton des autres.

La Belle Meunière de Marcel Pagnol n’est pas un film neuf, mais un événement gastronomique. Pagnol a trouvé un plat inédit : le navet en croûte.