Pierre Bénichou

Quand je vois la guillotine et ta gueule, je suis du coté de la guillotine. (à Gérard Miller)

Ça c’est vraiment le roquefort qui dit au camembert tu pues !

Je sens que ça va rentrer comme papa dans la bonne.

Bernadette soutient Seguin ? Comme la corde soutient le pendu !

C’est honteux ça, je préfère encore bouffer de la bite.

Benjamin Biolay est déprimé ? De quoi ? De prendre du pognon avec une voix de merde ?

Si j’avais le cul comme t’as la gueule, j’aurais honte de chier.

A propos des miracles : T’as déjà vu un cul de jatte aller à Lourdes et revenir avec des jambes ?

A propos de Johnny Halliday : Rien n’est naturel chez ce mec là, même ses comas sont artificiels.

Je suis jaloux de tout le monde : moi, je bouffe du caviar, je suis jaloux des frites du mec d’à côté.

Tu sais moi au fond je t’aime, c’est pour ça que j’aimerais que tu sois moins con. (à Paul Wermus)

Je t’aime bien, mais je hais les gens qui te ressemblent ! (à Gérard Miller)

J’aime ta mémoire car tu n’as jamais oublié d’être con. (à Steevy Boulay)

Si tu cours aussi vite que je t’emmerde, tu seras à Paris avant ce soir !

Il n’y a pas d’hommes infidèles, il n’y a que des épouses qui n’ont pas de talent.

Moi j’aurais aimé être une femme mais il y a trop d’entretien !

On peut aller fumer sur le trottoir, mais y en a qui ont peur d’y trouver leur sœur.

Il y a un peu de vrai dans ce qu’il dit, d’ailleurs s’il n’était pas si laid je l’écouterais. (En parlant de Paul Wermus)

Tu devrais te raser quand tu me parles, même de loin tu me piques.

Personne ne m’a autant donné envie d’être de droite depuis Staline que Gérard Miller.