Guerre

L’attitude est une petite chose qui fait une grande différence.

Un prisonnier de guerre est un homme qui essaie de vous tuer et échoue, puis vous demande de ne pas le tuer.

Jamais dans l’histoire des conflits, tant de gens n’ont dû autant à si peu.

Prenez les armes, et montrez votre valeur, soyez prêt au combat ; car il vaut mieux pour nous périr en combattant que d’affronter le spectacle de l’outrage fait à notre nation et à notre autel.

Je n’ai à offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur.

Ne me faites pas d’objections. Les difficultés en feront assez d’elles-mêmes.

Nous attendons l’invasion promise de longue date. Les poissons aussi.

Nous l’appelons Jeanne d’Arc et nous cherchons quelque évêque pour le faire brûler.

Nous lutterons sur les plages, nous lutterons sur les terrains de débarquement, nous lutterons dans les champs et les rues. — (Hors micro: Et nous les frapperons à la tête avec des bouteilles à bière, car c’est là tout ce que nous possédons vraiment).

La mort et la douleur seront nos compagnons de voyage, les privations notre vêtement, la constance et la vaillance notre seul bouclier.

Il n’y a qu’une réponse à la défaite, et c’est la victoire.

A la guerre, la maxime «sécurité d’abord» mène tout droit à la ruine.

Rien n’est plus agréable que de prendre une décision héroïque et, pour des raisons indépendantes de notre volonté, de ne pas pouvoir la mettre à exécution.

Le sang se lave avec des larmes et non avec du sang.

Les guerres ont toutes sortes de prétextes, mais n’ont jamais qu’une cause : l’armée. Ôtez l’armée, vous ôtez la guerre.

La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées.

On a pris pour braves des lâches qui craignaient de fuir.

Un soldat utile est celui qui sait obéir à un ordre.

Combattre pour la paix, il paraît que c’est de bonne guerre.

La guerre est la multiplication du crime parfait.

Il y a courage et courage, celui du tigre et celui du cheval.

N’écoute pas les fous qui nous ont dit : « la liberté est au bout du fusil ». Ceux qui ont cru ces bêtises sont morts depuis longtemps Les marchands d’armes ont tous de beaux enfants.

Il vaut mieux mourir dans les bras d’une fille qui vous connaît bien que périr en face d’un type qui ne vous a jamais vu.

Ô qu’il est doux de plaindre le sort d’un ennemi quand il n’est plus à craindre !