Cocu

C’est une grande erreur de croire que, parce qu’on est cocu, on a droit instantanément à toutes les autres femmes !

Pour savoir combien on aime un ami, il faut le perdre ou le faire cocu.

Cocu pour cocu, autant être marié.

Il vaut mieux être cocu que ministre. Ça dure plus longtemps et l’on n’est pas obligé d’assister aux séances.

Le drame du cocu, c’est le drame de l’homme : la connaissance.

C’est comme tout d’être cocu, c’est difficile. C’est pas donné à tout le monde. Cela s’apprend.

Le cocu, d’ordinaire, on le choie, on le gâte.

On peut être bon chrétien moyen, et cocu.

Nous ne reprochons pas aux maris graves d’être cocus, Nous leur reprochons d’être à la fois graves et cocus.

Adam n’a pas été seulement le premier homme. Il a été le premier cocu.

A quoi sert ce progrès dont nos siècles se parent, à quoi sert d’avoir tant vécu ? Il n’y a plus de chefs de gare, mais il y a toujours des cocus !

La vie vaut-elle d’être vécue ? L’amour vaut-il qu’on soit cocu ? Je pose ces deux questions auxquelles personne ne répond.

Le remariage est le moyen légal de faire cocu son ancien conjoint.

Un homme qui est fait cocu par une femme laide est plus cocu que les autres.

Un cocu ? Un entier qui partage sa moitié avec un tiers.