Savoir

Personnellement je suis toujours prêt à apprendre, bien que je n’aime pas toujours qu’on me donne des leçons.

Aux examens on nous pose toujours des questions dans des domaines qu’on ne connaît pas et jamais dans ceux qu’on connaît bien.

Éduquer, ce n’est pas remplir un seau, mais allumer un feu.

L’éducation développe les facultés, mais ne les crée pas.

Les maîtres d’école sont des jardiniers en intelligences humaines.

L’instruction améliore les bons et gâte les mauvais.

En enseignant, les hommes apprennent.

Étudie, non pour savoir plus, mais pour savoir mieux.

Il y a deux sortes de connaissance: connaître le sujet soi-même ou savoir où nous pourrons trouver l’information.

Le peu que je sais, c’est à mon ignorance que je le dois.

Avec tout ce que je sais, on pourrait faire un livre… Il est vrai qu’avec tout ce que je ne sais pas, on pourrait faire une bibliothèque.

Les classes devraient être passionnantes. Seulement, pour cela, il faudrait des professeurs passionnés.

Je revendique le droit à l’ignorance.

Le secret de l’éducation réside dans le respect de l’élève.

Les professeurs sont faits pour les gens qui n’apprendraient rien tout seuls Le savoir qui compte est celui qu’on se donne soi-même, par curiosité naturelle, passion de savoir.

Comment peut-il y avoir encore tant de gens qui ne savent ni lire ni écrire quand il y a tant de cours par correspondance !

Autrefois, les illettrés étaient ceux qui n’allaient pas à l’école Aujourd’hui ce sont ceux qui y vont.

Pour apprendre quelque chose aux gens, il faut mélanger ce qu’ils connaissent avec ce qu’ils ignorent.

Celles qui ont besoin d’apprendre ne sauront jamais rien.

Il faut avoir beaucoup étudié pour savoir peu.

Qui aime à s’instruire n’est jamais oisif.

On est ordinairement maître de donner à ses enfants ses connaissances ; on l’est encore plus de leur donner ses passions.

Nous recevons trois éducations différentes ou contraires : celle de nos pères, celle de nos maîtres, celle du monde. Ce qu’on nous dit dans la dernière renverse toutes les idées des premières.

Un homme qui enseigne peut devenir aisément opiniâtre, parce qu’il fait le métier d’un homme qui n’a jamais tort.