Usage

Le fraudeur fiscal est un contribuable qui s’obstine à vouloir garder un peu d’argent pour son propre usage.

Les mœurs et les manières sont des usages que les lois n’ont point établis ou n’ont pas pu ou n’ont pas voulu établir.

Le bien est dans le bon usage que l’on fait de n’importe quoi.

Le surnaturel n’étant pas d’un usage pratique ni régulier, il est sage et décent de n’en pas tenir compte.

Moisson : usage de faux.

On ne doit pas juger du mérite d’un homme par ses grandes qualités, mais par l’usage qu’il en sait faire.

Une bonne allusion vaut tous les reproches, outre qu’elle est d’un usage plus commode. Pour être bonne, une allusion doit être si directe qu’on en soit frappé sûrement, si détournée qu’on doute d’avoir été visé.

Tout usage finit par se changer en abus.

L’optimisme est une fausse espérance à l’usage des lâches et des imbéciles.

La notion de Dieu devrait remplir l’homme de respect et par conséquent il devrait en faire usage rarement et jamais à la légère.

Émanciper la femme, c’est excellent ; mais il faudrait avant tout lui enseigner l’usage de la liberté.

L’idée de Dieu aura fait de l’usage ! On ne voit pas par quoi la remplacer. Pourquoi alors l’homme ne ferait-il pas tout pour la garder, pour s’y cramponner ? De toute façon il ne trouvera pas mieux.

Pour réparer la perte du temps passé, il faut bien employer le présent, et ne souhaiter l’avenir que pour en faire un bon usage.

L’étude du temps est la plus utile de toute, elle nous enseigne le moyen d’en faire un bon usage.