Bonheur – Malheur

Rien n’empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur.

Si nous ne reconnaissons pas plus souvent le bonheur, c’est qu’il vient à nous avec un visage autre que celui que nous attendions.

Ne peut rien pour le bonheur d’autrui celui qui ne sait être heureux lui-même.

Vivre sans illusions, c’est le secret du bonheur.

Des malheurs évités, le bonheur se compose.

Les mêmes souffrances unissent mille fois plus que les mêmes joies.

Quand tu souffres, regarde la douleur en face : elle te consolera elle-même et t’apprendra quelque chose.

Le silence est la dernière joie des malheureux.

On a quelquefois assez souffert pour avoir le droit de ne jamais dire : je suis trop heureux.

Ne remettez jamais à demain le plaisir que vous pouvez prendre aujourd’hui.

J’aimerais mieux être malheureux que de connaître cette espèce de bonheur faux et menteur.

Le bonheur est un maître exigeant, surtout le bonheur d’autrui.

Le bonheur n’est jamais grandiose.

Il faut parfois songer à son propre bonheur.

Il est plus difficile de ne pas jalouser un ami heureux que d’être généreux envers un ami dans le malheur.

Le secret du bonheur et de la vertu, aimer ce qu’on est obligé de faire.

Plus on est heureux et moins on prête attention à son bonheur.

Il n’y a pas de honte à préférer le bonheur.

Tout le malheur des hommes vient de l’espérance.

Qu’est-ce que le bonheur sinon l’accord vrai entre un homme et l’existence qu’il mène ?.

Le bonheur est un hôte discret, dont on ne constate souvent l’existence que par son acte de décès.