Heureux

Il vaut mieux que certains soient malheureux plutôt que personne ne soit heureux, ce qui serait le cas si l’égalité était générale.

Les heureux… font des heureux ! Tandis que les malheureux ne font, hélas, le bonheur de personne.

Heureux les bisexuels qui peuvent regarder toute l’humanité avec les yeux de l’amour…

Tout le monde n’est pas fait pour être heureux.

Un homme peut être heureux avec n’importe quelle femme aussi longtemps qu’il ne l’aime pas !

Si on ne voulait être qu’heureux, cela serait bientôt fait. Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile parce que nous croyons les autres plus heureux qu’ils ne sont.

On est heureux quand on a dépassé l’inquiétude du bonheur.

La caresse d’une mère, une belle promenade, des heures émerveillées par des récits heureux agissent sur toute l’existence.

Il n’y a pas d’amour malheureux : on ne possède que ce qu’on ne possède pas. Il n’y a pas d’amour heureux : ce qu’on possède, on ne le possède plus.

Qu’il eût été fade d’être heureux !

Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler.

La jeunesse est cet heureux temps où l’on devrait plutôt dire qu’on ne doute de rien plutôt que de dire qu’on n’y doute pas de soi.

Il y a des couples heureux, des moitiés qui se respectent mutuellement.

Être heureux, ce n’est pas bon signe, c’est que le malheur a manqué le coche, il arrivera par le suivant.

Est-ce qu’il y a besoin de se mettre la cervelle à l’envers pour être heureux dans l’amour ?

Que les femmes seraient agréables si elles ne tenaient pas absolument à être heureuses !

Il y a au moins un mariage qui rend un homme heureux : celui de sa fille.

On n’aime que les femmes qu’on rend heureuses.

Chacun cherche sa route; nous cherchons la nôtre et nous pensons que le jour où le règne de la liberté et de l’égalité sera arrivé, le genre humain sera heureux.

Il y a trois manières de faire le bien : avec intérêt, sans intérêt, contre l’intérêt. La première seule rend parfaitement heureux.

Deux personnes pour faire un couple heureux, ce n’est pas assez.

Ceux qui ont eu de grandes passions se trouvent toute leur vie heureux, et malheureux, d’en être guéris.

Le travail du corps délivre des peines de l’esprit et c’est ce qui rend les pauvres heureux.

La modération des personnes heureuses vient du calme que la bonne fortune donne à leur humeur.