Enfants

La Révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants.

On parle beaucoup trop aux enfants du passé et pas assez de l’avenir – c’est-à-dire trop des autres et pas assez d’eux-mêmes.

Il y a deux façons de voyager : en première classe ou avec des enfants.

Notre cœur s’emplit tant de plaisir devant la beauté et le bonheur des enfants qu’il en devient trop grand pour tenir dans notre corps.

Les parents sont des os sur lesquels les enfants font leurs dents.

J’ai quatre enfants, ce qui n’est pas mal considérant que je ne suis pas catholique.

L’art, mes enfants, c’est d’être absolument soi-même.

C’est très curieux : ce sont toujours les célibataires qui vous donnent des conseils pour élever des enfants.

Tout le monde sait comment élever des enfants, sauf ceux qui en ont.

Il n’y a plus beaucoup de parents, de nos jours, qui accordent un tant soit peu d’importance à ce que disent leurs enfants ; le traditionnel respect envers les jeunes est en train de se perdre.

Nos mères sont nos enfants et nous voulons que nos enfants soient nos mères.

Dès que nos enfants ont des enfants, ils se mettent à nous comprendre.

Quand on doit diriger des enfants ou des hommes, il faut, de temps en temps, commettre une belle injustice, bien nette, bien criante : c’est ça qui leur en impose le plus.

Les enfants ont plus besoin de modèles que de critiques.

Halloween n’a rien de drôle. Ce festival sarcastique reflète plutôt une soif de revanche des enfants sur le monde adulte.

Elle disait de son stupide mari en montrant ses deux enfants : « Voilà tout ce que j’ai pu en tirer. »

Mieux vaut avoir de nombreux enfants, ils se répartissent la sottise de leurs parents, le fils unique la garde toute pour lui.

Cirque : Endroit où les chevaux, poneys et les éléphants sont autorisés à voir des hommes, des femmes et des enfants se conduire comme des idiots.

Une belle-mère, c’est une dame qui donne sa ravissante fille en mariage à un monstre horrible et dépravé pour qu’ils fassent, ensemble, les plus beaux enfants du monde.

Les familles, l’été venu, se dirigent vers la mer en y emmenant leurs enfants Dans l’espoir, souvent déçu, de noyer les plus laids.

Les caddies sont les enfants de la balle ; Ramasser les pourboires est le souci des caddies ; Ramasser les balles, le cadet de leurs soucis.