Corps

L’homme est constitué de deux parties, son esprit et son corps. Mais son corps s’amuse beaucoup plus…

La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain: elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.

Son corps est comme un défi d’en trouver un plus beau. Cela donne envie de chercher.

La vis est le corps sans âme et le tournevis l’esprit.

Il est de parfaits corps et de parfaits visages Il n’y a pas de cœurs parfaits.

Baiser – Saisis-moi, agrippe-moi, serre-moi ! Plus fort, plus fort encore ! que je jouisse de tout mon corps.

Un baiser, c’est quelque chose de plus que le premier contact charnel de deux corps : C’est l’exhalation de deux âmes, c’est le fruit défendu, c’est un tison ardent qui enflamme.

Je n’aime que toi, j’ai soif de ta beauté, j’ai faim de ton corps.

Amour – vous mord, vous moud, vous cloue, mais vous ouvre âme et corps.

Il y a un silence du corps et de l’âme : c’est la condition du bien-être.

Tout corps plongé dans un liquide reçoit un coup de téléphone.

L’amour est pour le cœur comme les parfums, les fards et les parures pour le corps.

Il passe autant de vin dans le corps de nos Bretons que d’eau sous les ponts.

Qu’est la volupté elle même, sinon un moment d’attention passionnée au corps ?

Un cœur, c’est peut-être malpropre. C’est de l’ordre de la table d’anatomie et de l’étal de boucher. Je préfère ton corps.

Avoir un corps, c’est la grande menace pour l’esprit.

Le bonheur est salutaire pour les corps, mais c’est le chagrin qui développe les forces de l’esprit.

A mesure que le corps descend vers son déclin, vers son apogée l’âme s’élève.

L’amour, c’est d’apprendre par c½ur le corps et l’âme de quelqu’un.

Mon corps n’en fait qu’à sa tête.

Nous n’accordons une âme aux gens que lorsqu’ils n’ont plus de corps.

Qui déshabillerait la nuit, verrait le corps de Dieu.

Un beau corps de femme est la meilleure lampe de chevet. Dormir à deux rend la nuit moins opaque.

La couleur est un corps de chair où un cœur bat.