Amitié

La moitié d’un ami, c’est la moitié d’un traître.

Ne dites jamais du mal de vous ; vos amis en diront toujours assez.

Les amis sont là comme un rempart solide et infaillible contre les démons de la vie.

Ne pleurons pas nos amis, c’est une grâce que nous fait la mort de nous séparer d’eux avant que la vie ne les ait séparés de nous.

Pour savoir combien on aime un ami, il faut le perdre ou le faire cocu.

Je ne sais pas le temps qui nous reste promis, Mais qu’importe le temps lorsqu’on a des amis.

Je ne puis être et ne veux vivre que dans l’espace et dans la liberté de mon amour.

Amitié : un parapluie qui a le défaut de se retourner dès qu’il fait mauvais temps.

Aimer, c’est permettre d’abuser.

Un ami véritable ne doit pas te demander si tu possèdes une carte American Express… il doit te confier la sienne.

Les bons plats d’un dîner doivent en cela ressembler aux amis. Peu mais bons.

Pour bien cuisiner il faut de bons ingrédients, un palais, du cœur et des amis.

Qui nous voit trop souvent voit bientôt qu’il nous lasse.

Tuer les nuances c’est tuer la liberté, l’appétit de créer, l’amour, le bonheur C’est déchirer la trame étincelante de la vie et la changer en haillon.

Israël est toujours le fils aîné de la promesse, comme il est aujourd’hui le fils aîné de la douleur.

Deux manières de briller : rejeter la lumière ou la produire.

Pour avoir une conversation distinguée se rappeler de n’ouvrir la bouche que quand on n’a rien à dire.

Je vais vous livrer toute ma pensée – Non, je vous en prie !.

Vous me trouvez idiot ? C’est parce que je suis en train d’échanger des idées avec vous.

La vie commune est un art très difficile à apprendre.

Le bonheur n’est pas un luxe, il est en nous contre nous-mêmes.

Dieu n’est pas venu supprimer la souffrance Il n’est même pas venu l’expliquer, mais il est venu la remplir de sa présence.

Qui obtiendra le premier prix dans un concours de circonstances ?.

Il n’y a qu’une classe dangereuse, c’est celle des intellectuels, c’est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n’y a pas d’emploi.