Emploi

Tout le monde est capable de faire un travail quelconque tant qu’il ne s’agit pas de celui qu’il est supposé faire à cet instant.

Dans les conférences de cadres, il ne s’agit plus de travailler, mais de parler sur le travail.

J’ai tellement besoin de temps pour ne rien faire, qu’il ne m’en reste plus assez pour travailler.

A quarante ans, l’homme ne sait plus que travailler ; Travailler, c’est marcher vers soi-même.

Il n’y a qu’une classe dangereuse, c’est celle des intellectuels, c’est-à-dire des gens qui possèdent un instrument pour lequel il n’y a pas d’emploi.

C’est dans le travail d’une vie que réside la véritable séduction.

Si vous voulez vous motiver, pensez à votre paie du vendredi.

Le travail est beaucoup plus amusant que le plaisir.

L’employé est au bas de l’échelle, certes, mais du moins il est déjà sur l’échelle.

L’emploi qu’un homme finit par obtenir est rarement celui pour lequel il se croyait préparé et dans lequel il pensait pouvoir être utile.

Les années heureuses sont les années perdues, on attend une souffrance pour travailler.

De ce que les hommes médiocres sont souvent travailleurs et les intelligents souvent paresseux, on n’en peut pas conclure que le travail n’est pas pour l’esprit une meilleure discipline que la paresse.

J’ai trop d’énergie pour travailler.

Un grand travailleur est un pauvre diable qui s’ennuie.

Le travail est une chose élevée, digne, excellente et morale, mais assez fastidieuse à la longue.

Il y a des gens niais qui se connaissent, et qui emploient habilement leur niaiserie.

Une conséquence immédiate du fait que l’homme est rendu étranger au produit de son travail : l’homme est rendu étranger à l’homme.

Le travail lui-même est nuisible et funeste non seulement dans les conditions présentes, mais en général, dans la mesure où son but est le simple accroissement de la richesse.

Le domaine de la liberté commence là où cesse le travail.

Presque tous les métiers sécrètent l’ennui à la longue

Le vrai patron est quelqu’un qui se mêle passionnément de votre travail, qui le fait avec vous, par vous.

C’est un mauvais travail que celui qu’on fait pour n’avoir plus à travailler.

Quand la paresse rend malheureux, elle a la même valeur que le travail.

Le travail pense, la paresse songe.