Femme

La pudeur qu’on prête aux femmes pimente la moindre liberté de leurs gestes.

Entre toutes les femmes, il n’y a de vrai que notre mère.

Eve n’a pas été créer à partir de la tête d’Adam pour lui être supérieur, ni de ses pieds pour être foulés par lui, mais de son côté à égalité avec lui, sous son bras pour être protégée par lui, et près de son cœur pour être aimée de lui.

La sage sait se vendre où la sotte se donne.

Pour une femme tout événement, même un deuil, se termine par un essayage.

Quand nous parlons de la gentillesse d’une femme nous ne faisons peut-être que projeter hors de nous le plaisir que nous éprouvons à la voir.

Les femmes appellent gentillesse se souvenir de leur beauté.

Les femmes sont les instruments interchangeables d’un plaisir toujours identique.

On ne réalise vraiment qu’une femme contient de la dynamite que le jour où on la laisse tomber.

Seules les femmes voient vraiment les choses. Les hommes n’ont jamais qu’une idée.

Tout est changé ! De notre temps, les jeunes femmes cédaient à leurs maris avec le sentiment d’accomplir un devoir difficile. Aujourd’hui, elles y prennent plaisir.

Les femmes se lassent plus vite d’un amant que d’un mari.

Certaines femmes font le malheur de dizaines d’hommes. D’autres s’acharnent sur un seul : ce sont les femmes fidèles.

Ce qui sauve les femmes, c’est que pour lire dans leur âme, il faut regarder leurs yeux.

La force des femmes n’est pas dans ce qu’elles disent mais dans le nombre de fois qu’elles le disent.

Les femmes attachent beaucoup d’importance à l’étiquette. Parce qu’il y a le prix dessus.

Que les femmes seraient agréables si elles ne tenaient pas absolument à être heureuses !

La femme a la passion du calcul : elle divise son âge par deux, double le prix de ses robes, triple les appointements de son mari et ajoute cinq ans à l’âge de sa meilleure amie.

Les femmes légères sont celles qui pèsent le plus lourdement sur le budget d’un homme.

Il n’y a que deux sortes de femmes : celles qui trompent leur mari, et celles qui disent que ce n’est pas vrai.

Si les femmes aiment les diamants, c’est peut-être parce qu’ils ressemblent à des larmes.

Le grand charme des femmes, c’est leur mystère. Elles mentent pour qu’on ne les comprenne pas.

Le baiser d’une femme, c’est la poignée de main du boxeur avant le combat.

Quand on entend ce qu’une jolie femme dit, c’est qu’elle n’est pas vraiment jolie.