Être

On est comme on naît.

Le verbe être et le vert bavoir.

Être asocial, c’est être.

Je pense, donc je suis.

Partout nous recherchons l’être achevé, et toujours nous ne trouvons que des changements.

Et s’il est un être qui avant nous et plus que nous ait mérité l’enfer, il faut bien que je le nomme, c’est Dieu.

Être intelligent, c’est être méfiant, même à l’égard de soi-même.

Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s’aimer.

L’univers n’est qu’une manière totale de ne pas être ce qui est.

Ce n’est pas être, pour un homme, que de ne pas agir.

Il n’y a pour les choses et pour les poèmes qu’une seule manière d’être nouveaux, c’est d’être vrais et qu’une seule manière d’être jeunes, c’est d’être éternels.

Tout le monde n’est pas fait pour être heureux.

J’y suis, j’y reste.

Rien ne peut être fait sans la solitude.

Dans chaque être humain vit une colonie entière.

Tout ce qui peut être imaginé est réel.

Une fleur est un être entièrement poétique.

Pour chaque être, il existe une sorte d’activité où il serait utile à la société, en même temps qu’il y trouverait son bonheur.

Les conventions finissent par former les êtres.

À l’être que nous avons le plus aimé, nous ne sommes pas si fidèles qu’à nous-mêmes.

L’amour ne nous fait pas mieux connaître ce que les êtres sont vraiment.

L’homme est l’être qui ne peut sortir de soi, qui ne connaît les autres qu’en soi, et, en disant le contraire, ment.

On peut quelquefois retrouver un être mais non abolir le temps.

Quelle réussite ! Si avant la fin de sa vie on ressemble, même de loin, à ce que l’on a toujours voulu être.