Aimer

Je ne souhaite pas la mort des cons : j’aime trop mes semblables.

Vivre est comme aimer : toute raison est contre, et tout instinct robuste est pour.

Dieu a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » D’abord, Dieu ou pas, j’ai horreur qu’on me tutoie…

Celui qui n’aime est malheureux, Et malheureux est l’amoureux.

A qui sait bien aimer, il n’est rien d’impossible.

Tu sais moi au fond je t’aime, c’est pour ça que j’aimerais que tu sois moins con. (à Paul Wermus)

Je t’aime bien, mais je hais les gens qui te ressemblent ! (à Gérard Miller)

J’aime ta mémoire car tu n’as jamais oublié d’être con. (à Steevy Boulay)

Aimer, c’est préférer un autre à soi-même.

On aime d’abord par hasard, par jeu, par curiosité, pour avoir dans un regard, lu des possibilités.

Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s’aimer.

Quand elles nous aiment, ce n’est pas vraiment nous qu’elles aiment Mais c’est bien nous, un beau matin, qu’elles n’aiment plus.

Je mets dans mes tableaux tout ce que j’aime Tant pis pour les choses, elles n’ont qu’à s’arranger entre elles.

Aimer, c’est se surpasser.

Les enfants commencent par aimer leurs parents ; Devenus grands ils les jugent ; quelquefois ils leur pardonnent.

C’est l’amour et la faculté d’aimer qui distinguent entre eux les êtres humains.

Je n’aime que toi, j’ai soif de ta beauté, j’ai faim de ton corps.

Le désir de plaire naît chez les femmes avant le besoin d’aimer.

Aimer, c’est doubler son regard.

Il l’aime plus que les autres, mais il lui faut les autres pour s’en rendre compte.

On aime d’amour ceux qu’on ne peut pas aimer autrement.

Aimer ce qu’on a : une façon résignée de ne jamais avoir ce qu’on aime.

Un mari qui aime sa femme est un homme qui n’a pas assez de mérite pour se faire aimer d’une autre.

C’est un malheur de n’être point aimée ; mais c’est un affront de ne l’être plus.